un petit mot pour nel .....

[Ce topic a pour aspiration, dans une certaine mesure, de rester sérieux. Vous êtes invités à vous y exprimer mais si vos propos ne sont pas du goût des deux protagonistes ils seront édités, voire supprimés sans aucune pitié. ^^]

*En entrant dans sa chambre comme tout les soir nel pu decouvrir un mot cacheté. Elle ouvrit le pli et le lu. Elle y découvrit une écriture gauche , mal assurée, comme celle d'un tout jeune enfant.*

"Nel .

Cela fait déjà quelques temp que je suis parmis vous , j'ai appris à tous vous connaitre plus ou moins. Dans ton cas, j'ai eu la joie de déceler une personne de coeur , passionnée et genereuse .
Tout ça peut te parraitre banal, seulement pour moi ça ne l'est pas . Depuis toujours je me suis efforcer de ne pas m'attacher aux personnes qui m'entourent, car quand on les perds ça fait trop mal. Seulement, avec toi, je ne peut pas m'empecher de t'aimer, tu es pourtant presque innaccessible pour moi, tellement radieuse. Je ne devrai pas t'aimer mais c'est le cas . Je voudrai pouvoir crier sur tous les toits ce que je ressent seulement je ne sai pas ce que toi, tu ressent. Si je parle de ce que j'éprouve, ça pourrai te causer du tord . C'est pour sça que je passe mon temp a me battre. Ca me permet de ne pas penser de trop à toi..."

L'écriture devient de plus en plus hésitante, comme prise de légers tremblements. Il semblerai que la plume se soit ecrasée à un moment.

.....

Je ne c'est plus quoi te dire , j'espère que tu ne m'en voudra pas d'avoir été faible en t'ecrivant ce mot .

Ton dévouer casimodo .

Nel était eberluée. Elle ne s'attendait pas à ce genre de déclaration... elle avait évidemment reconnu chez Casimodo certains signes d'affection, mais elle pensait qu'il ne s'agissait que de marques de respect et de fraternité. Quant aux plaisanteries grivoises de Papou, elles étaient habituelles et étaient, à force, dénuées de sens.

Ce jeune homme avait aquis sa place bien vite. Il avait su se faire apprécier malgré un départ difficile (comment s'affirmer haut et fort alors que l'on est un remplaçant ?) et semblait à présent à l'aise.
Mais bon sang... là n'est pas la question ! Qu'en est-il de... bref, de ça. Casimodo est le seul à présent à partager mes fin de soirées, cela a dû jouer.
Mais !!! Comment fais-je pour toujours détourner mes pensées des sentiments ! Quelle situation... Les multiples déclarations spontanées d'inconnus ne sont rien, mais Yoshinta et maintenant Casimodo, voila qui est bien différent. Ce sont des personnes que j'apprécie profondément, qui comptent pour moi, que j'...
J'aurais bien besoin de conseils. Et je ne peux même pas en demander ! Une Oracle qui ne sait pas quoi faire, j'aurais belle mine ! Je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas...

Son regard se fixa soudain sur l'écriture malhabile.

Mais...

La lettre glissa de ses doigts et tomba sur le sol.

Mais... je me souviens très bien que nous avions parlé avec Casimodo des chartes de l'Ordre, Efer et moi lui avions lu tous les documents car son enfance de combattant ne lui avait pas permis de...
Mon Dieu !
... il a appris à écrire pour pouvoir me faire cette lettre...

Au moment où Nel frappa à la porte du laboratoire d'Efer, une explosion se fit retentir. Elle dégaina son baton et se précipita à l'interieur. Efer se tenait au fond de la pièce, le visage recouvert de suie et les cheveux ébouriffés par le soufle de la détonation.
Il regarda Nel d'un air à la fois étonné et en colère :
- "Décidemment, ce n'est pas encore demain la veille que je maîtriserai ce satané glyphe enflammé"!

En s'essuyant le visage et époussetant ses vêtements, il se dirigea vers son bureau et se lassa tomber sur le fauteuil. Il dévisagea quelques secondes Nel, encore le baton à la main, puis se rendi compte que quelque chôse la tracassai.
Il l'invita à s'assoir et il la laissa décider du moment où elle trouverai la force de lui exposer son angoisse.

Nel connaissai le passé d'Efer, comment sa famille avait été sauvagement assassinée par les démons, comment il s'était engagé dans la lutte contre le mal. Elle savait aussi qu'il avait fait voeux de célibat en homage à sa femme qu'il aimait encore. Au moins, cela la mettait à l'abris d'une nouvelle déclaration. Elle pris sa respiration et, en se gardant bien de ne citer aucun nom, ni même le sien, lui exposa son problème.

Efer compris bien vite que c'était elle sa "copine chef de guilde" aux multiples prétendants. Il lui répondit ainsi :
"Lorsque quelqu'un est capable d'abnégation, lorsqu'elle fait passer la vie de ses protéger avant la sienne, qu'elle recueille les confidence, il est normal que ses protégés, un jour où l'autre, en tombe amoureux. Mais est-ce vraiment de l'amour ? Ou du moins cet amour là? Car l'amour porte mille visage, et bien souvent il est difficile de reconnaître l'un de l'autre. La frontière entre amour, amitié et tendresse est bien mince, comme celle qui le differencie de celui qu'un enfant porte à sa mère."

"Si cet amour en est vraiment un, ton amie devra déterminer si elle est capable de l'accepter. Elle n'est pas sans savoir qu'il est très difficile pour une meneuse de mener de front une vie sentimentale, diplomatique et politique. Elle doit à chaque instant être attentive aux conséquence de ses actes. Car sa vie lui appertient-elle vraiment ? D'autres lui vouent surement des sentiments semblables. En acceptant l'amour de l'un, ne risque-t-elle pas d'en décevoir dix autres ?"

"Vieux célibataire endurci, je suis surement le moins bien placé pour promulger des conseils dans ce domaine. Il faut qu'elle veille à ce que ce sentiment soit réellement réciproque. Sa décision doit venir de son coeur et elle sera quoi qu'il arrive, contraint de faire des concéssions."

*Comme à son habitude casimodo parti , tres tôt le matin , du sanctuaire afin de s'exercé avant de manger . profitant de ces instants ou sa chambre est vide le majordhomme en profita pour effecntuer quelques rangements dans cette chambre de souillon . En ouvrant la porte il vu tout de suite quelque chose d'etrange ( on pouvai distingué le bureau du bazare ambiant !! ) cela l'etonna beaucoup , il alla donc constaté . c'est ainsi qu'il decouvri un amoncelement de papier au coter du bureau , une bonne centaine de parchemin grifonner de partout , aussi bien de vulgaires pages de lettres allant de A à Z , et au coeur de tous ces papiers il vit une petite vingtaine de parchemins pouvant ressemblés à des lettres . En lisant une de ces lettres le majordhomme fut tres surpris de découvrir une déclaration . Il se mi à la lire , à corriger les nombreuses fautes d'orthographe , prit par le temp , il se depecha de tout remettre comme c'etai en emportant un exemplaire avant que casi ne rentre de ces exercices matinaux .*

*En sortant de la chambre le majordhomme se dirigea droit vers l'office de nel , un air intriguer visivble sans effort , en évitant soigneusement de rencontrer qui que se soit . Arrivé devant la piece il frappa doucement et attendi la reponse pour entré , il rentra discretement et tendi le parchemin à nel qui le pri , le majordhomme reparti sans mot dire .*

Comme à son habitude notre oracle rentre ce couchée après une dure journée à écouter réclamations , commandes de potions ....

Se dirigeant vers sa chambre , elle pu trouvé casimodo assis contre le mur devant sa porte , la tête entre les genoux , semblant dormir. S'approchant de lui nel fut surprise quand il releva la tête , il avait les yeux plus rouge que l'habitude , les poils touts ebourifés .

En voyant nel casimodo se releva , frotta ces vetements et pri la parole .

Bonjour nel , je sai que sa peut parraitre bizarre de me voir la ..... mais *hésitant* ... *la voix legerement tremblante* je t'ai donner un message ! je pensai que tu me repondrai ! je voi que tu ne veut pas de moi , je ne vai pu t'embetter avec sa . * passant pres de nel il reparti par les escaliers et sorti du sanctuaire l'épée au poing* .

Tres tôt ce matin les quelques personnes éveillées purent entendre un bruit sourd provenant d'une des façades de notre sanctuaire , cela dura quelques instants , 1-2 minutes avant de s'arreter .

Comme toujours plusieurs personnes allèrent voir sa de plus pres , elles sortirent du batiment , tournèrent sur la droite longeant le mur , arrivant presque au niveau des fenetre de Casimodo ils purent trouver au sol des tas de parchemins . Allant des premiers pas de l'ecriture ( célebre parchemin pour apprendre à écrire seul ) j'usque divers parchemins de poésie , d'autre simplement rempli de tests d'ecritures plus ou moin ratés . Un peu plus loin ils trouverent des plumes de tofu du célebre marchand Zangdar ( les meilleur plumes d'amakna ) .

Nel, depuis quelque temps, se faisait plus rare dans le Sanctuaire. Outre quelques soucis qui nécessitaient toute son attention, elle avait un petit projet. Une idée qui avait germé dans son esprit lorsqu'elle avait appris le monceau de parchemins qui jonchait le sol de la chambre de Casimodo. La visite récente de Casimodo avait quelque peu contrarié ses plans, il lui fallait à présent se dépécher. Certes ce ne serait pas la réponse qu'il attendait, ni celle qu'il craignait, mais Casimodo était une personne qui comptait pour elle.

Elle y pensait souvent... Yoshinta et Casimodo, deux êtres particuliers. On lui avait souvent proposé le mariage (une chose étrange, une épidémie : de simples connaissances qui veulent se marier, ou même de parfaits inconnus... le mariage avant l'Amour, quel étrange principe !), mais ces deux là étaient différents. Elle les connaissait depuis longtemps, et elle les appréciait. Mais cette situation était très étrange... comment ne pas être mal à l'aise ? A quelques jours d'intervalles, ces deux déclarations...

Non. Ne pas y penser. Continuer à travailler.
Ecrire... noter ces leçons, ces conseils. Consolider pour Casimodo ce fantastique pas en avant qu'il avait entrepris. Aider les autres aussi... mais oui, surtout Casimodo. Et puis continuer d'y penser... gagner un peu de temps, juste assez pour savoir, décider... bon sang, quelle situation...

Nel renversa le petit encrier sur son écritoire. Elle sourit. C'était donc si compliqué que ça ?