Puisque je vous cotoie de plus en plus régulièrement et que nos routes se croisent de temps à autre, il me semblait utile de faire quelques présentations.
Je me nomme Enaya, je suis de l'ordre Feca et je parcours les terres de Dofus depuis des lunes et des lunes. Je suis l'un des bras droit de la Confrérie Des Loups.
J'ai été Brakmarien mais devant la mentalité de certains des habitants de cette communauté, j'ai choisi de rejoindre les forces de Bonta comme jadis quand dans une autre vie j'étais un Crâ, et oui je suis mort et j'ai laissé une veuve mais les dieux de Dofus m'ont renvoyer sur ces terres sous ma forme actuelle, pourquoi, allez donc savoir ?? Je sais seulement que mon destin est scellé et que j'ai une mission à accomplir ici bas : Celle de faire respecter la loi du juste et de chatier les impunis.
Je suis boulanger, paysan et alchimiste; je suis passé maître dans certaines de mes professions même, pouvant ainsi subvenir à mes propres besoins et de ceux de ma guilde ou de mes compagnons de route. Je suis également mercenaire d'Astrub pour ramener les renégats dans le droit chemin ou exécuteur sur contrat pour les individus ayant commis des fautes impardonnables.
D'humeur et égale et communicatif, je n'ai cependant aucune pitié pour mes ennemis, pour moi un contrat est un contrat et ce dernier est toujours rempli quoiqu'il en coûte.
Voici notre devise, écrit sur nos parchemins sacrés :
Ô mes amis, hurlons à la Lune !
Car c'est sous les tambours de la guerre,
Que se joue notre fortune !
Comme choix, le collier ou la corde au cou
Accablés par un aussi horrible joug
Quand notre liberté, est par les hommes, piétinée
Alors qu'à notre nature seule, nous avons juré fidélité !
Le cercueil plutôt que la soumission
Sans compromis, communions dans la rébellion
Seuls ou en meute, nous propagerons l'émeute.
Que les justes comme les escrocs, à jamais redoutent nos crocs
De par notre vengeance, rendus aveugles et insoumis
De nos ennemis, nous prendrons la vie.
Dans le sang de leurs enfants
Nous panserons nos blessures
Et jusqu'à la dernière, ces infâmes créatures
Seront balayées par le lupin ouragan !
Ô mes amis, hurlons à la Lune !
Car c'est sous les tambours de la guerre,
Que se joue notre fortune
