poèmes maison ^^

Voila un topic fait rien que pour poster les poèmes écrit par vous-mêmes, et bien sur donner vos impressions sur ceux des autres.

N’hésitez jamais à être franc sur vos critiques, sauf si l'auteur vous demande de ne pas l'être. car les critiques servent normalement à améliorer le prochain poème de l'auteur

et ben j'ai envie d'innoguerer le topic
donc je vais commencer par tout les poèmes fait en été 2004, tous sur les fées et le monde bizarre dans lequel on faisait nos rp, un monde rongé petit à petit par la glace.

Le cycle féerique :

Citation :

Quand une fée vient au monde, celui-ci est heureux.
En naissant elle comble, ses parents de son mieux.
Elle restera toujours, belle pour ceux qui l’aiment.
Et un jour son amour, exorcisera les peines,
De tout ses gens autour, qui la chérissent et l’aiment.
Et qui seront toujours, la pour ses problèmes.
Et la fée va grandir, prendre son premier envol.
Enfin s’épanouir, et ne plus faire la folle.
Puis elle sera superbe, et voudra à son tour,
Trouver entre les herbes, l’amour qui dure toujours.
Afin que de ses lèvres, elle l’embrasse et qu’un jour,
Tout en haut d’un clocher, leurs âmes seront liées.
On revient au départ, une nouvelle fée va naître.
Et très loin quelle que part, quelqu’un l’attend peut être.

CYSK


Mes Rêves Angéliques :

Citation :

l'astre du jour se lève, la fée sort de ses rêves.
Mais que c'est il passer, dans les bras de Morphée?
La fée était géante, de la taille des gens,
qui passent si souvent, devant la fée dormant.
Et la fée qui luit, s'éteint durant la nuit,
pour éviter d'être, manger par une bête.
Personne ne la voie, on ne sait pas qu'elle est là.
Elle dort paisiblement, rêvant d'être géant.
Car à cette taille ci, la fée change de vie.
Car d'un être lumineux, elle devient ange radieux.
Et peut ainsi voler, plus vite que le vent,
et ainsi inspirer, des rêves aux enfants.

CYSK


Mère nature est si bonne :

Citation :

Les fées et la nature, seront toujours lié
Passé présent futur, jusqu’à la mort des fées.
Elles l’aident à s’épanouir, de printemps en printemps.
La nature les nourrie, depuis qu’elles sont enfants.
Mais pour se reposer, et pouvoir se détendre,
Nos amies sont aidé, par le soleil si tendre.
Il nourrit tout le monde, de sa lumière bénie.
En dessinant une ronde, autour des bois maudit.
La nature s’en abreuve, et verdit grâce à eux.
Les fées prennent se qu’elle peuvent, pour briller encore mieux.
Car quand une fée s’éteint, et pas de son plein grée.
Sa vie touche à sa fin, et elle est emportée.
Par la nature si bonne, et elle en tirera,
Force et magie qu’elle donnent, à toute les fées des bois.

CYSK

Citation :

Je change…………….pas :
Je change d’univers, pour la première foi.
De warpremieum vers, goldensun 1, 2,3.
Je ne suis plus une fée, mais un très grand mystique.
Mes pouvoirs sont liés, au soleil féerique.
Car même dans d’autre sites, mes pouvoir sont les mêmes.
Car c’est moi qui les site, je choisie ceux que j’aime.
Depuis très très longtemps, j’adore la lumière.
Il y’a pas plus puissant, comme énergie sur terre.
Même si certain préfère, les quatre éléments.
Les eau, feu, vent et terre, qui sont tous important.
Certains pensent aux ténèbres, de plus en plus puissant.
Mais eux et la lumière, sont lié constamment.
J’essaye d’apporter, guettée autour de moi.
La lumière peu soigner, et ramener la joie.
Voilà pourquoi partout, c’est elle que j’ais choisie.
Elle sera jusqu’au bout, mon allier dans ses vies.

CYSK

voilou je crois l'en manque pas de cette série ^^

J'ai un faible pour ton Cycle Féérique

Si je peux me permettre, je crois que tu devrais éviter de placer systématiquement une virgule comme marque de césure imposée dans tes vers, ça casse un peu le rythme de lecture.

je sais je faisait ça avant, maintenant je le fait plus mais c'est parti tout seul, parceque j'en avai marre les faire (faignantise extreme vous connaissez? une virgule c'est fatiguant..)

allez je m'incruste dans les cercles des pouet.

- Dark Melody : The Doll's Death -

Citation :

La pluie tombe sur nos vies
résonne au loin une triste mélodie
Elle entame un air pathéthique
La fin d'un délire maléfique

Main étendue sur le sol,
gisant dans son propre sang,
la boite à musique joue toujours
la mélodie d'un amour...

...dont la souffrance est la finalité...

Ils s'étaient rencontrés sous la pluie,
pluie d'été interminée,
leur regards étaient flammes dans la nuit,
Ils s'aimeraient à jamais...

Peine perdue que de croire en l'amour de ses proches,
La poupée chantait cette air de repproche
Tel un testament Celeste,
elle s'en irait loin de cette peste.

Il l'enlaçait souvent,
cette triste poupée,
Il lui promettait tout le temps,
qu'avec elle il s'en irait...

Lorsque la boite s'ouvrit,
une poupée triste hochait la tête machinalement
au rythme de la mélodie,
ses yeux nous contemplaient tristement...

Son regard était profond,
Aussi perçant que sa tristesse,
elle faisait de la peine et de l'amour ses compagnons,
Lorsque la faucheuse lui apporta la détresse.

...il était mort...

L'amour plus puissant que la peine,
Sentiment étrangement proche de la haine,
C'est ce ressentiment qui l'a rendu inhumaine,
Ainsi s'ouvrirent ses veines...

Il pleut dehors, dans la nuit,
alors que sur sa peau si douce, le sang luit
Il s'écoule lentement et tombe à ses pieds
Elle contemple ainsi sa triste destinée...

Le regard vide et inerte,
elle se sent bien, comme dans ses bras.
elle a l'impression qu'il aime encore, certe,
La mélodie la berce dans l'au-delà.

Ainsi meurt la triste poupée,
sa main posée dans son sang,
en écoutant la triste mélodie...

...celle de sa vie...


La pluie tombe sur nos vies,
résonne au loin une triste mélodie
Elle entonne un air de malchance
La fin d'une âme en déchéance...


Main étendue sur le sol,
posée dans la flaque de son propre sang,
la boite à musique continue à jouer seule
la mélodie d'un amour...de son linceuil

...ainsi disparu la triste poupée...

et un autre que j'ai pas titré :x

Citation :

C'est fou comme le temps glisse entre nos doigts,
comme le nombre de choses que l'on a pu promettre,
c'est un flux infini qui va à l'encontre de soi,
Qui peut détruire n'importe quel être...


Les mots sont souvent mal pesé,
de par l'inocence ou l'inexperience,
aucun savoir de la vie menée,
ou un futur avoué dans l'insouciance.


On ne doit jamais oublier,
les mot que l'on a pu prononcer.
Ce sont eux qui nous guide les premier,
dans ce que l'on sera dans notre passé...

On peut croire en l'utopie,
comme quoi demain il fera beau,
se prosterner devant le cycle de la vie,
remercier notre bourreau...

Un Ange,
dans ses yeux, on y voit la souffrance,
Mon Ange,
Celui qui est venu me délivrer de mon errance...



"Regarde dans mes yeux,
et dis moi ce que tu y vois,
Cela ne peut être réel
et pourtant ça l'est..."


C'est fou comme le temps tombe sur nous,
telle la pluie céleste qui brûle nos âmes,
Ces larmes incandescentes et humides ; tout,
semble maussade, emprunt à ces larmes...

Les mots résonnent dans mon esprit,
comme l'éclatement de chaque goutte du ciel,
Ils sont le sombre echo d'une vie,
celle d'un regret éternel.

Mes yeux sont sombres, emplis de haine,
voyageant dans le tumulte et dans la peine,
ils ont su se montrer doux comme des agneaux,
dont le sang innonde mon corps à nouveau

Un Ange,
dans ses yeux, on y voit la souffrance,
Mon Ange,
Celui qui est venu me délivrer de mon errance...


Regarde dans mes yeux,
et dis moi ce que tu y voies.
Celà ne peut être réel,
et pourtant ça l'est.

Le regard est redevenu haine,
Alors que l'Ange se brûle les ailes...
...mes ailes ont déjà été brûlées....
Ferme les yeux, sent moi venir,
ma haine, ma peine, ton devenir.
Laisse place à la souffrance,
pour mieux me comprendre.
Ici je recommence mon errance,
pour mieux me voir mourir...

Alors je me lance aussi, j'en ai fais quelques uns il y a de ça quelques années. Ils sont pas top, mais bon j'en suis fière quand même, c'est mes créations ^^

C'est pratiquement tous sur le même sujet qui m'a beaucoup inspirée, ça parle de mes sentiments donc je parlerai de poèmes lyriques ^^

J'ai écrit les premiers quand j'étais au collège, en 3ème. Donc c'est qualité "poème de collégien" et les autres peu après en 2nde et première.

Je ne mets que le lien parce que c'est vraiment long.

http://perso.orange.fr/amara/totem/imprimer/divers/poemes.htm

sarys, c'est pas que j'aime pas ton poème, j'adorai le début, mais j'ai pa pu le finir parceque....je déteste le sang, vraiment, à tel point qu'une foi en cours, à force de parler de gens qui se coupe le veine et a cause mon immagination débordante, je suis tombé dans les pommes...ça m'arrive 2/3 foi par ans, alors j'ais pas voulu risquer ça en lisant tout ton poème
domage, j'ai toujours aimer la fin des poème moi

voici maintenant une série de 5 poèmes écrit, comme vous pouvez le lire vu que se sont des acrostiche ou un nom dans se genre ( le truc que les première lettre forme un mot) , pour asciane ( c'est ma tite histoire d'amour triste de ma vie )

Citation :

A l’inverse de certaines personnes, les normaux.
Si des choses devraient me perturber elle ne le font point.
Car je pense trop au joli chose de la vie.
Imaginaire ou réelle, à tout ce qui est beau.
Avec cela je fais mon chemin.
Naturellement, doucement, bêtement.
Et tôt ou tard je me rendrais bien compte, que j’ai oublié le plus important.

Citation :

Attention attention, la vie est courte bande d’abrutis
Si vous n’en profité pas, de toute façon elle passera
Combien de foie faudra t’il vous le dire !
Imaginez-vous la vie sans ses joies?
Alors vivez comme vous le pouvez
Ne laisser jamais rien vous en empêcher
Et faite en profitez les autres.

Citation :

A toutes les choses auxquels je pense
Seul quelques-unes sont incontournables
Ce sont souvent des questions sans aucun sens
Ironie ou déformation de ma vie, inévitable
A toutes ses questions sans réponse réelle
Ne renoncer jamais
Et vous ne trouverez pas de réponse, mais ça vous aideras quand même

oua l'était trop nul lui, j'ai vraiment baclé la fin...faudrait le refaire.....quoi qu'il en vaut pas la peine

Citation :

Ah! l’orthographe
Si seulement ça n’existait pas
Car quand j’arrive à écrire une ligne sans faute
Icompris quand j’utilise Word
Alors c’est que j’ais mis 2 heures à le faire
N’est ce pas les messages parut dans les mots le plus important?
Ecouter mes messages lut par un autre si ça vous choque, mais moi l’orthographe je m’en fou.

Citation :

Ah lala la
Si seulement
Car là uniquement
Implicitement mais sûrement
Ah lala la
N’est ce pas le rêve ?
Et bien, peut être??

j'ai limite honte de les poster car je les trouve vraiment mauvais, j'ai juste voulu dire des choses et répondre a des truc que cette fille me disait, j'ai du faire les 5 dans la même heure mdr. donc pour cela, soyé plus moins méhcant à la critique c'est juste pour poster un peu

ça c'est le dernier de la série asciane, celui un peu après l'histoire que je vous conterais si vous êtes sages
il est un peu plus triste que je l'aurais voulu, mais bon

a oui c'est un accromachin encore sauf la dernière phrase le M est de trop, mais il fallait je finnisse

Citation :

Je ne peux retenir mes pensées, malgré tous mes efforts.
Entraîné par ma solitude, elles s’emportent et m’emportent avec elles.

Terriblement, fatalement, elles me font souffrir nuits et jours.
‘
Alors je tente de les refouler, je m’occupe l’esprit constamment
Inévitablement, le moment ou plus rien ne vient occuper mon esprit arrive.
Malgré ma lutte incessante, je finis par leur céder, par m’y perdre.
Et elles m’emmènent, en me montrant tout le bonheur dont je rêve, aux limites du désespoir.

Ainsi je te vois, toi, omniprésente dans ma vie, brillant autant par ta beauté que par ton absence.
Seulement tu ne peux être près de moi, et ce n’est pas une question de distance.
Car tu te fou de moi, comme de tout ce qu’on peut lire en diagonal de ce poème.
Il me tarde de t’oublier, mais je n’y arrive pas, et tu m’emmène encore.
Au bout de cette route il y a le gouffre, celui dont t’en on envie de se jeter
Nuits et jours je pense à toi, mais toi, toi tu ne le fais pas.
Et c’est normal, c’est la vie, on souffre toujours plus qu’on le voudrait.


Mais tu n’en as que faire de tout cela, que faire de moi, je ne suis qu’un gamin immature, inculte et ringard, un perdant dont la seul chose qu’il est gagner, c’est le droit de demeurer comme il la toujours été, seul.

(à noter que je ne pense jamais avoir aimer asciane, peut être été amoureux, mais pas aimer...eu...j'oubliait il n'y a que moi qui fait se genre de distinction )

et 3 autre dont un déjà poster je croi:

Citation :

Lumineuse

conscient ou inconscient,
dormant, courant, marchant,
en cours, en m'amusant,
je vie, et constement,
c'est à toi que je pense.
je parle du future,
d'l'industrie, d'la nature,
dans l'eau, dans la voiture,
c'est à toi que je pense.
de tout les chemins qui se trouvent devant moi, un seul guide mes pas,
un sentier lumineux et lui seul me rendra a jamais heureux.
j'arrive a voir cette route et jamais je n'en doute,
ce chemin s'offrant a moi, c'est celui menant à toi.

Citation :

petit creu.

une nuit sur deux je rêve de toi,
toute les heures je te désire,
j'ai envie de toi, que tu soit à moi,
quand tu apparais, ou disparais, tu m'atire.

j'ouvre la porte menant a toi,
pour nous réunir a tout jamais ensemble,
mais tu n'es pas la, et il me semble,
que ma soeur était plus rapide que moi.

au revoir, chocolat :'(

et le dernier ça parle de dofus ^^

Citation :

petit eni.

d'astrub, ma ville natal je part vers l'inconnu.
même sous un froid glacial jamais je ne recul.

je me balade partout soignant ange et démon.
je n'ais jamais un sous j'devrais moins fair de don.

je ne progresse pas, aidant nimporte qui.
mais moi je suis comme ça j'aime voir les autres sourire.

mais rendre heureux une joli dame vaut pour moi mieux q'un level, de l'or, ou mon âme.
je suis un petit eni aimant aider et guerrir et je continuerais, c'est ma façon de vivre.

ben voila deux autres encore dont un interdit au moins de 8ans et l'autre écrit....comme beaucoup d'aileur pour passer le temps en cours

Citation :

il fait beau:

Je regarde le ciel dès que je peux car cela me rend souvent heureux.
Qu'il soit noir, blanc ou gris, je l'admire, puis je souris.

Les malheur, les peines semblant immortelles disparraissent quand je contemple le ciel.
Je n'arrive pas à être malheureux quand je contemple les cieux.

Pourquoi t'en d'engoument pour de simple nuage blanc?
Je ne sais pas vraiment mais c'est le cas, constemment.

Je suis un rêveur je ne peut être mieux.
Laisser moi ce petit bonheur,
le ciel est calme, malgres tout ses chamgements il reste apaisant, et il sera toujours là pour nous rendre heureux.

Citation :

pour ma fuyuzuki, un petit acrostiche ^^

embrasse moi encore et encore, ne t'arrette surtout pas.
laisse moi jouir de ton corp, accroche toi, abuse de moi.

sans tabou, sans hésiter, sans retenu, donne toi.
écarte toi, laisse moi entrer, mouille, joui, aime moi.
ouvre toi corps et âme, et moi,
il se peut que je ne puisse plus me passer de toi.

J'aime beaucoup le premier (du dernier post que tu as posté) mais le dernier n'est pas du tout à mon gout par rapport aux termes utilisés.. enfin, surtout la 4eme phrase qui à mon gout gâche tout le reste :x enfin, ce n'est que mon avis personnel ^^

tu sais celui la est oft, j'en ai écrit des plus crue, mais c'est vrai que ça devient pas beau... par contre en rp ça donne bien et fuyuzuki est meilleur que moi la dedans

It's my turn ! Poèmes Powaaa !!

Voilà ma dernière composition. Euh... Je ne sais même plus de quand elle date . Je l'avais écris pour ma meilleure amie . Remarque, je lui ai jamais montrer .

Citation :

Sous le soleil, mon corps s'embrase...
D'un amour infini qui projète son ombre derrière moi...
Cet espoir maudit qui ne cesse de grandir...
Fait de moi une âme perdue...
Egarée dans le temps, égarée dans la vie...
Je me sens faible, je me sens détruit...
Que ferais-je si je n'avais pas d'amies ?
Toujours là pour me dire si un jour je dois dire oui...
Un oui à la vie, un oui pour chaque combat...

Si seulement c'était vrai...
Si seulement c'était vrai...

La condition unique de la vie...
Celle où je serais le moi que tout le monde voudrait...
Celle où je serais le moi que j'aimerais devenir...

Si seulement c'était vrai...
Si seulement c'était vrai...

Pourquoi aimer si on doit souffrir ?
Pourquoi vivre si on doit mourrir ?
Est-ce là une condition divine ?
Ou bien un simple caprice de la vie ?

Si seulement c'était vrai...
Si seulement c'était vrai...

Un retour à la vie, un autre jour à te dire " oui "...

Si seulement c'était vrai...
Si seulement c'était vrai...

Le moment où tu me dirais le oui....
Le oui d'un amour infini...
Celui qui me fera rougir dans la nuit...
Le oui que j'attends depuis si longtemps...
Celui qui me dictera ma vie...

Si seulement c'était vrai...
Si seulement c'était vrai...

Ce bonheur parfait à tes côtés...
Cette fille amoureuse que tu serais...
L'homme accompli que je deviendrais...

Si seulement c'était vrai...
Si seulement c'était vrai...

Aujourd'hui, moi je dis...
Que ma vie sans cette amie...
C'est un signe maudit....
Celui qui me pourrira la vie...
Inutile de donner la pitié pour avoir la paix...
Inutile de venir me chercher pour me transformer...
J'attendrais le temps qu'il faudra...
Tout ce temps maudit...
Je resterais enfoui...
Tapis dans l'ombre...
Rien que pour cette amie...
A qui je lui voue ma vie...

SAROT LUNA.

il est pas trop mal ton poème, même bien, les ... font pensé à mes virgule du premier que j'ai poster et je supose qu'ils mériteent une critique similaire. sinon juste une objection:

Citation :

Pourquoi aimer si on doit souffrir ?
Pourquoi vivre si on doit mourrir ?

je ne parlerais pas de la deuxieme tellement elle est débile , mais la souffrance, ça fait parti de l'amour, et c'est une des choses qui le rend i beau. la ouffrance est necceaire au bonheur et à l'amour encore plus, c'est elle qui nou permet d'être heureux. et c'est le topic poème alors je vais m'arretter la

Dans la nuit seul avec mon chagrin
En me disant que Dieu le veut bien
Tout me parait revenir sans cesse
Rien à faire car Dieu me délaisse
Et pour l'éternité je serai en détresse
Seul avec mon chagrin malgré mes prouesses
Seul dans la vie qui me blesse
Et dans mes entrailles cet espoir qui ne cesse

un p'tit koukou en passant ;)

c'est plus écrit comme une chanson...

Sarys a écrit:

On ne sait jamais quand tout finit
lorsque la vie elle même se détruit
Lorsqu'on se sent plus fort que les lois
Lorsque l'on croit que les balles ne nous atteignent pas


Un texte, un piano, une mélodie, un chant
un message qui ne marquera pas les esprits
c'est un coeur d'enfant qui l'a écrit
le coeur sombre se perd dans tout ce blanc...

La fumée s'enlisant tout autour de son âme
l'être tout entier devenu encens de ses larmes, je sais
que l'on peut croire en tout et que tout peut arriver,
mais dur de voir l'amour détruire tout cela en quoi je croyais


On ne sait jamais quand tout finit
lorsque la vie elle même se détruit
Lorsqu'on se sent plus fort que les lois
Lorsque l'on croit que les balles ne nous atteignent pas


petite ballade au clair de lune, triste
cette détresse qui te consume, je sais,
trop d'espoir pour l'avenir tue l'instant présent,
à quoi bon ce devenir, sans aucun rêves d'enfants ?

La vie est trop courte pour croire en un rêve,
petite poupée qui danse, sans trêve, regarde,
tout ce néant et cet infini,
qui nous entrave sous la pluie, poupée


On ne sait jamais quand tout finit
lorsque la vie elle même se détruit
Lorsqu'on se sent plus fort que les lois
Lorsque l'on croit que les balles ne nous atteignent pas


La mélodie s'estompe à chacun de mes pas,
comme si on me drainait la flamme qui était en moi, tu sais,
on affiche nos buts et nos désirs,
comme si c'était ça l'idéal de nos avenirs,


Vivre dans une merde, cette vie qui nous confine
à être une élite de putes sous morphine
Devenir le parfait idéal, remballes,
les dictateurs sont morts, pas besoin de refaire le mal, tu sais


On ne sait jamais quand tout finit
lorsque la vie elle même se détruit
Lorsqu'on se sent plus fort que les lois
Lorsque l'on croit que les balles ne nous atteignent pas...

La Mélodie a terminé sa triste tâche,
que de t'accompagner dans le froid tu te lasses, je sais,
Il y aura toujours des larmes qui renaitront,
mais c'est notre avenir qui se joue, notre plafond

Ne tombes pas du ciel, mon paradis, ma beauté, mon Eden,
la chute sera longue, et tu ne te relèveras pas.
La vie ne s'est jamais faite sans joies ni peines,
Oublies toute cette merde et envoles toi avec moi.

On ne sait jamais quand tout finis,
lorsque la vie elle-même se détruit,
lorsqu'on se sent plus fort que les lois,
lorsque l'on croit que les balles ne nous touchent pas

Envoles-toi, petite larme, vers Eden,
...à défaut de tenir le canon trop près de tes lèvres,
c'est comme ça que se sont mise à pleurer,
tes veines...

et voila mon préféré de moi:

Citation :

sourit ^^

mon avenir est incertain,
mon passé est plat et froid.
dans les moments de grand chagrain,
je pleur seul entre mes dras.

autant de copain que peu d'ami,
je me sens seul, entouré ou pas.
alors, dans ses moments la, je souris,
car je sais que personne ne me prendra dans ses bras.

mes poèmes sont court, je priviligie le sens à la forme, pas de stylistique, je synthétise au lieu de dévelloper et je dit parfois les choses trop franchement, c'est mon côté matheux (j'adore les maths ^^). le profs d français disent que les bon poèmes sont ceux dont la forme à pris la place du sens un truc comme ça. mais moi je suis pas bon en français, je suis juste un rêveur qui veut se laisser aller, laiser couler les choses naturelement. donc mes poèmes, c'est moi , c'est pour ça que jamais on y parle de suicide ou de sang, car j'ai décidé d'exclure ses choses de ma vie qui me semble...superflu, voir stupide

vive ce smiley :

"C'est toi."
de : moi ()

Citation :

C'est toi,
non seulement toi,
mais tout ton être.
Ne me regarde pas comme ça,
oui ça n'a ni queue ni tête.
Et alors ?
Je suis comme ça, on ne me changera pas.
C'est toi, seulement toi.

Achève mon âme dans ton esprit,
Ma douce, tue-moi pendant que je suis ton élu,
Laisse-mon sang innonder le sol, fais moi sentir vivant.
Tues le peux qu'il me reste, je ne veux pas vivre plus longtemps, ne plus pleurer...

Ensembles, nous vivrons pour toujours,
je n'arrête pas de penser aux premiers jours,
ceux où j'évitais ton regard plus que tout,
les coups dûrs, mes pensées tiennes,
Te désirer à en être fou,
"Regarde combien je t'aime"

Après un échange de sourires et regards,
ce sont les mots qui nous ont fait connaitre.
Un millier de maux sous une carapace qui change le paraître,
Pourquoi une fois loin de toi j'ai des pensées si noires ?

Quelle vie magnifique, une fois que tu es à mes côtés.
Sentiment si dur de ne savoir quoi faire,
te faire sourire, rire, ou seulement t'épauler,
je ne l'ai jamais su, j'aurai du plus souvent me taire.
Ne pas savoir comment te le dire,
que c'était toi, et seulement toi.

Et pourtant le temps nous a rapproché,
mon coeur n'osait y croire, il t'aimait.
Moi j'avais peur de ne jamais pouvoir y croire,
Que je te serrerai dans mes bras tot ou tard.
On a tous un passé qui nous a forgé,
Certains en ont un qui les ont détruit.
Moi je ne veux que te faire partager ce je suis.
Te dire que c'était toi, toi à jamais.

Celà devait finir par arriver.
Un armure se brise, une statue s'effondre,
c'était toi et uniquement toi dans mes rêves, nuit étoilée,
Mon coeur battait la chamade, voulant être ton ombre.
Je ne sais pas comment cela s'est produit, mais je n'ai rien choisit.
C'était toi, et seulement toi.

La course contre le temps est inutile,
même si je m'y aventurerai pour pouvoir te sauver.
En même temps je suis quelqu'un de futile,
de croire en un rêve qui n'existera jamais.
Et pourtant, il m'anime encore,
quand tu me serres contre moi si fort.
Je t'aimais plus que toi, je te le prouve dans ces lignes,
Car j'ai pleuré pour toi, simplement car c'était toi.

Tout est si arrogant, le destin, le ciel, et moi mourrant,
pourquoi es-tu si loin de moi, alors que je te serre contre moi ?
Je sais que ton coeur te joues des tours,
parfois il te malmène,
Je ne suis que l'aurore d'un mauvais jour,
Un jour si sombre dans ma haine.
Je me hais pour mes faiblesses,
Depuis mes troubles, je fais tout pour les masquer,
Tu es ma pire faiblesse,
celle dont j'était fier, que je veux embrasser.
Simplement car c'était toi, ne me demande pas pourquoi.

Les Anges s'envolent, d'autres s'effondrent,
comme les monstres d'un passé trop longtemps oublié,
surgissant de l'ombre pour mieux poignarder.
Regarde comme je tombe.
L'arbre de la vie ne veut pas de moi comme son fruit.
Je n'aspirais qu'à ton attention,
Tu ne peux pas m'apporter toute cette affection,
C'est après cet échange de mots que tout s'enfuit.
C'était toi, mais pas moi.

Achève mon âme dans ton esprit,
ma douce tue-moi une fois pour toute, pendant que je suis ton élu,
Laisse mon sang innonder le sol, fais moi sentir vivant.
Tue-moi mon ange, après tout je ne peux vivre plus longtemps.
Ensembles, nous vivrons pour toujours.
Seulement car c'était toi.
Non seulement toi, mais tout ton être.
Ne me regarde pas comme ça, comme si ça n'avait ni queue ni tête.
C'est toi, et tu n'y peux rien.
Sauf si tu décides d'enfoncer la lame au plus profond,
pour que s'arrête cette complainte,
Après tout je suis déjà mort.

S.

Reve d'une nuit

Citation :

Des buissons lumineux frémissaient sous la brise légère
Milles oiseaux tels des prismes virevoltaient dans les airs
Le calme règnait seul sur terre et seul dans les cieux
Une Nymphe écoutait le chant des sources
Le sourire du monde habitait ses yeux
Un Archange tranquille et pur veillait sur elle
Et chaque soir pour que sa nuit soit douce
L'Archange l'endormait aux creux de ses grandes ailes

Et chaque matin la Nymphe s'éveillait pleine de rosée
Et l'Archange séchait de sa robe ailée
Ses longs cheveux et son corps qu'il tenait dans ses mains
Et comme hier comme avant les oiseaux et le vent
Chacun doucement sortaient de leur sommeil
Rien n'avait dérangé les splendeurs de la veille

Les années passaient ainsi, paisibles et un jour
La Nymphe sentit son âme impatiente et lasse
D'être a jamais la fleur sans seve et sans amour
D'un bonheur partagé, monotone et tenace
Le désir lui vint d'éprouver le temps d'un éclair
Un large et doux frisson se glisser dans sa chair

Un soir que l'Archange se penchait avec ses doigts pieux
Doucement, lentement, pour lui fermer les yeux
La Nymphe bondit hors de ses ailes immenses
Et décida de l'embrasser, foudre d'une subite démence
L'ange au coeur si pur, ne réalisa pas
Elle était deja loin qu'il lui tendait encore les bras

Elle voulait aimer, lui était interdit
Pour connaitre l'orage elle s'enfuit loin de lui
L'Archange demeura immobile, d'un sourire jusque la inconnu
Et la nymphe s'envola sous les étoiles, perdue
L'Archange veilla toute la nuit les bras vides son retour
Elle ne retrouva ses ailes qu'au lever du jour

Il hésitait s'attardait quand la Nymphe tendrement
S'empara de ses mains, les embrassa longuement
Avant de glisser vers ses levres en un frisson délicieux
Pour seuls témoins ne luisaient que leur yeux
Et depuis les amants se séparent chaque nuit chaque jour
Et s'unissent le soir et a l'aurore en un ardant amour
Ils se savent interdit, Nymphe candide, Archange protecteur
Mais lui soleil elle étoile ont trouvés leur paradis, leur bonheur

M.

[HRP du point de vue de mon ecaflip ;)]

Citation :

Tout n' est que rage et haine,
Tout est colère en moi
Que me vaut tant de peine
A gérer mes émois?
Les corbacs par dizaines
Déchiquettent ma foi
Si seul'ment plus humaine
Pouvait être ma voie
Certes le sang dans mes veines
Plus souillé qu' on n' le croit
Et sa nature malsaine
M' ont privé de ce choix

J' ai trop peu je le crains
Trop peu à déclarer
Si ce n' est mon chagrin
Comme preuve d' humanité
Et pourtant je sais bien
Que tu avais donné
Cette chance à mes mains
De pouvoir le toucher
Ce bonheur que depuis
Je ne peux qu' observer
Ce bonheur que je fuis
De peur de le briser

Il est fini le temps
Des caresses et baisers
De ton sourire charmant
De mon coeur apaisé
Il est parti maint'nant
Que tu t' en es allée
Comme partent au vent
Les pétales fanés
Si seul' ment tout ce temps
J' avais su te montrer
Si j' avais su comment
Mieux qu' un autre t' aimer
Ce moment de douceur
A tes lèvres volé
Qui jadis en mon coeur
Mit la force d' aimer
Resonn'rait comme l' espoir
D' une douce éternité
Loin de mes cauchemars
Tout de douleur peuplés
Loin de toutes mes craintes
De chaton névrosé
Que de ta tendre étreinte
Tu savais repousser

Mais mon unique courage
Fût de tout déchirer
Comme pour faire étalage
De ma stupidité
Par ma sotte fierté
J' ai quitté tes doux bras
Maintenant destinés
A un autre que moi
Lui il saura t' aimer
Et s' occuper de toi
Je le sens, je le sais
Et hélas je le vois

Tout n' est que rage et haine
Tout est colère en moi
Mais je sais que je t' aime
Même si tu n' m' aimes pas
Tout' dimension humaine
De moi s' en est allée
Charriée par ma haine
Et ses flots déchainés

C' est sûr'ment mieux ainsi
En tous cas je le dis
Plus facile comme ceci
D' oublier qui je suis.