[REFUSE] Ombr

Bien le bonjour, je me nom Ombr, disciple du dieu Sram, je suis aussi ange grade (d'alignement) 21, espion. Du cercle de puissance 48

Le 18 Novamaire 636, une trompette de Bonta sonnat, tous les miliciens présent ce jour, doivent se rendre au plus vite dans le hall de la Milice, lance au bras, bouclier à l’autre.
Amaryo :

-<< Mes fidèles Miliciens, l’heure est grave, -Lay-, Tifus, Painsurpatte et quelques autres, on réussi, à percer l’aile droite de nos murs de défenses. Ils sont actuellement dans le sous-sol. Impossible de les châtiés.>>

Quelques Bontalois, sont présents pour leur joué un tour.
Il ne reste plus qu’à défendre le levier, d’actionnement de la porte de la prison.
Ombr s’approcha d’Amaryo, et part en direction de ce levier. Il y trouva une sacrieuse nommé Sarys, d’un eniripsa nommé AngeluS et d’autres…
Les Brâkmariens ne se fit pas attendre. Tout de suite, -Lay- pénétra dans la salle du levier.
Notre réaction ne se fit pas attendre aussi. Tard le soir, les Brâkmariens, se fit très rare…
Chaque Bontalois, rentras dans leur logis , le cœur plein de palpitations.



[hrp] Si vous m’acceptez, je serait fier de respecté vos règles.
Pourquoi vous? Une guilde de Bontalois, j'en suis un, quoi de mieu pour moi.[/hrp]

IRL :

Je suis étudiant, après, euh…J’habite dans la région du Tarn.

*Lofora s'avança lentement, dévisageant Ombr*

Si je puis me permettre, il me semble que tu est bien vite passé du côté des bontariens.. en effet, le 5 novembre, tu postulais chez nous, l'assemblée de l'ombre..

*s'incline doucement et se mue dans l'ombre, sa voix s'éteignant doucement*

Je tenais a mettre les bienveillants, et beaux parleurs Archangels au courant

Efer était inquiet.

Depuis quelques jours l'Oracle était fiévreuse. Son sommeil était agité. Le féca veillait constamment sur elle. Il aurait aimé qu'un éniripsa de la guilde puisse l'épauler, mais les transes devaient rester confidentielle, mais pour les Archanges.

Au trosièmes soir, alors qu'il appliquait un linge humide le le front de la sadida, celle-ci se redressa subitement, les yeux révulsés et les membres secoués de spasmes. Efer du faire un grand effort pour maintenir son amie sur sa couche. Soudain, la sadida se calma. Elle ouvrit la bouche et une voix se fit entendre. Ce n'était pas la sienne, pourtant elle sortait de sa bouche dont les lêvres ne bougeaient pas :

- Mefiez-vous de l'ombre qui rampe dans votre demeure. Elle ne vit que par la lumière, mais son royaume demeure la nuit. Ne la laissez pas entrer.

La sadida s'éffondra dans un sommeil profond. Son visage passa de crispation à appaisement. La fièvre tomba immédiatement.

Efer sorti de la chambre et se dirigea vers la chapelle. Il extrait d'un dossier un parchemin sur lequel il déposa un mot : REFUSE.